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Traduit par : Ringo
Traduit de l’anglais par : Akira
Relu par : Akira
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ARC VI – LE CORRIDOR DES SOUVENIRS
CHAPITRE 65 – « Le deuxième, le cinquième, suivis de―― »
Subaru : “――――”
Majestueux et imperturbable, un grand homme aux cheveux rouges était apparu en ce lieu. Reid Astrea.
L’arrivée imprévue de l’homme, ses yeux bleus tranchants sans aucune considération pour la surprise adverse, sa seule présence amena tout le monde――même la Gourmandise, à se trouver à court de mots.
Reid : “Oioi, pourquoi vous faites du surplace, enfoirés. Est-ce que l’fait que j’sois ici est quelque chose d’aussi surprenant, hein. C’est une évidence, non ?”
Voyant Subaru et les autres complètement pétrifiés, Reid frappa d’un doigt son œil gauche recouvert d’un cache-œil, et frappa les sandales qu’il portait sur le sol.
Un geste qui faisait implicitement référence à l’ensemble de la Tour,
Reid : “J’ai même pas pu faire une sieste à cause de tout s’raffut à l’extérieur et à l’intérieur. C’est tellement pénible qu’y ait même pas d’boissons ici et qu’ensuite ça arrive, impossible que j’le tolère.”
Subaru : “…C’est entièrement lié à ta convenance, n’est-ce pas. Comme tu peux le voir, nous sommes occupés à notre manière. Ne rends pas les choses plus compliquées.”
Reid : “Kah ! T’as dit quelque chose, menu fretin ? Désolé mais ta voix est si basse que j’ai pas pu l’entendre. En fait, même si elle était audible, j’aurais quand même dit que j’pouvais pas l’entendre.”
Subaru : “Ton entêtement de merde est vraiment merdique…”
Et ce qui était désagréable, ce n’était pas seulement son entêtement, mais aussi son timing.
Trop faible pour le blâmer, pas assez consistant pour protester contre lui. Subaru, désarçonné par ses paroles violentes et implacables, réalisa qu’il se sentait effrayé par Reid et serra les poings.
Son âme se souvenait du sentiment de défaite lié à l’existence de Reid.
Ce n’était pas seulement à cause de tout ce que Reid lui avait fait vivre à l’époque où il était rempli de suspicion. Même dans la boucle précédente, il avait été confronté à l’audace répugnante de Reid.
À ce moment-là, le cœur de Subaru n’était pas censé craindre Reid à ce point.
Mais maintenant, à cet instant, pourquoi le ressentait-il de façon particulière, inhabituellement sévère ?
C’était――
Subaru : “――Parce que mon âme te considère clairement comme un ennemi, n’est-ce pas ?”
Reid : “Bravo, menu fretin. J’veux pas élever ton statut d’menu fretin, mais j’te félicite de pas t’méprendre sur le fait que j’suis pas un renfort commode.”
Subaru : “Même si tu disais, “réjouissez-vous, je suis votre soutien”, il n’est pas possible d’accepter pleinement de telles paroles venant de toi.”
Reid : “Kah ! T’as assurément bien parlé.”
Déployant ses crocs avec férocité, Reid rit comme un requin tandis que Subaru dissimulait les frissons qu’il ressentait dans sa colonne vertébrale.
La déclaration de Reid à l’instant était aussi, d’une certaine manière, une proclamation de désespoir. Cependant, Subaru n’avait jamais considéré Reid comme un allié depuis le départ.
Cela avait été simplement affirmé――il ne s’était pas trompé.
Et lorsque l’échange entre Subaru et Reid aboutit à une pause――
Gourmandise : “Eh bien, diiiiis, Reid Astrea.”
C’est ainsi que le personnage qui avait rapidement recouvré ses esprits, la Gourmandise, prononça le nom de Reid.
Au centre de l’allée gelée――l’Archevêque du Péché fou se tenait littéralement entre le groupe de Subaru et Reid, et lorsqu’il fut ciblé par cette ligne de mire scintillante d’émotions vicieuses, Reid lança un regard vers la Gourmandise en reniflant de mécontentement.
Reid : “Oh, qu’est-ce qu’il y a nabot… Quel sale petit nabot. Qu’est-ce qu’il y a, sale nabot-chan.”
Gourmandise : “Tu es le Maître Épéiste de la Première Génération, n’est-ce pas ? Alors pourquoi es-tu ici, heiiin ? D’après nos souvenirs, toi, l’examinateur, tu ne devrais pas pouvoir descendre de l’étage supérieur, n’est-ce pas vrai ?”
Ignorant son surnom humiliant et ses efforts de provocation, la Gourmandise posa la question à Reid.
Les Souvenirs qu’il avait évoqués étaient clairement ceux de Subaru, ce qui était assez frustrant, mais Subaru et les autres partageaient également la même question qu’il avait soulevée.
――L’arrivée de Reid Astrea, l’examinateur du deuxième étage, au quatrième étage.
C’était quelque chose que Subaru avait également aperçu dans la boucle précédente, et qu’il avait considéré comme l’un des cinq obstacles à franchir.
La raison pour laquelle il se promenait librement dans la Tour était totalement inconnue. Cependant, ce phénomène ne se produisait qu’à ce stade du jeu――si ce dernier avait été capable de se promener pendant tout ce temps mais qu’il avait simplement choisi de ne pas le faire, le problème serait tout à fait différent.
Gourmandise : “Qu’il y ait une astuce particulière derrière cela, ou que le rule de la Tour lui-même ait changé, dans tous les cas, le fait que tu fasses ça est inconcevable, et nous n’avons pas d’autre choix que de reconsiiiidérer le full-course meal de bien des façons. Après l’entrée, il y a le main dish et ensuite le dessert, c’est la norme tu sais. Pas vrai ?”
Reid : “Déblatère pas des conneries aussi incompréhensibles, espèce de sale nabot d’merde.”
Gourmandise : “――――”
Reid : “J’peux pas descendre ? Ouvre les yeux et regarde, enfoiré. T’peux comprendre la stupidité qu’tu exprimes en j’tant un coup d’œil, ouais, enfoiré. Oi, toi là-bas.”
Tout en parlant, Reid s’avança vers la Gourmandise en signe de mécontentement. Sa silhouette, avec ses crocs blancs déployés et son œil unique, ressemblait à s’y méprendre à celle d’un délinquant.
Toutefois, la pression qu’il exerçait lui-même était incomparablement plus forte que celle des délinquants qui se rassemblaient devant les supérettes, suffisamment pour que l’on sente sa vie menacée par ses seules séquelles.
S’il fallait le comparer à quelque chose, alors ce qui se tenait là était une bête qui était le mélange d’un tigre, d’un ours, d’un lion et d’un dragon, le tout dans un seul corps.
Vêtu de tous les signes de violence possibles, Reid montra les crocs.
Reid : “Plaisante pas, enfoiré. J’fais s’que j’veux comme je veux. Pas question d’accepter les instructions d’quelqu’un, enfoiré. Arrête de plaisanter, enfoiré. Tout d’abord, j’reviens à toi, c’est quoi ton problème ? Qui t’a donné la permission d’faire du boucan ici ? Oi, toi là-bas, enfoiré.”
Gourmandise : “Ahhahaaa, comme c’est incroyaaaable, comme c’est insupportaaaable, c’est impossible de parleeeer.”
Transformant l’épée sacrée de glace qu’il tenait à la main en fragments de glace, la Gourmandise coiffa sa longue frange.
Il semblait que même la Gourmandise ne pouvait pas s’en sortir face à un adversaire avec lequel il était si difficile de dialoguer. Même avec Émilia, quelqu’un avec qui il ne servait à rien de discuter, il y avait eu des signes de lutte, mais Reid était plusieurs niveaux au-dessus d’Émilia en termes de difficulté à converser.
Néanmoins, la Gourmandise, se rapportant à l’adversaire incompatible, prononça “Bien que”, et,
Gourmandise : “En tant que proie, c’est la meilleure qualité. Notre appétit, en tant que Gourmet, réclame la goinfrerie ~tsu ! Manger à pleines dents ! Mâcher ! Tout lécher ! Atteindre la saveur ! Boisson gourmande ~tsu ! Gourmandise ~tsu !”
Rugissant, fou d’excitation et de férocité, la Gourmandise positionna ses membres sur le sol gelé et fixa Reid.
Faisant passer sa longue langue à travers ses canines blanches, conformément à la consigne de l’aberrant “appétit” qui se complaisait dans les souvenirs d’autrui, impossible à comprendre pour les hommes ordinaires, sa salive bavait et dégoulinait sur le sol. Et――
Gourmandise : “――Archevêque du Péché du Culte de la Sorcière, représentant la Gourmandise, Ley Batenkaitos.”
Que cette déclaration soit vantarde ou prétentieuse, de toute façon, la Gourmandise――non, Ley Batenkaitos, avait donné son nom, avait frappé le sol de glace l’instant d’après, et avait entamé son sprint avec la vélocité d’une flèche décochée.
Ce spectacle ressemblait à la scène d’un quadrupède féroce au milieu d’une chasse, son élan étant suffisamment sauvage pour que l’on en ait une véritable hallucination.
Reid : “Ahhh~, quelle plaie.”
Se concentrant sur Batenkaitos qui chargeait follement, Reid mit un doigt dans son oreille et grommela comme s’il était troublé,
Reid : “Eh bien, j’suis l’épéiste, Hauroy Larrier.”
Subaru : “Qui est-ce que c’est même ?!”
Reid : “Le gars qui vivait à côté d’ma maison dans ma ville natale.”
Subaru cria inconsidérément face à ce pseudonyme excessivement grandiose, ce à quoi Reid répondit de manière tout à fait indifférente. Il retira ensuite son doigt de son oreille et observa Batenkaitos qui se trouvait juste devant lui,
Ley : “――Mangeons ~tsu !!”
Reid : “En mettant d’côté le fait qu’la nee-chan chaudasse puisse le dire, qu’un sale nabot-chan comme toi me le déclare ne m’rend pas heureux.”
Ley : “――Zuh ~tsu.”
Alors que Batenkaitos s’avançait avec sa grande bouche ouverte, son corps se déplaça intensément à l’horizontale.
En effet, la jambe droite de Reid s’était grossièrement déchaînée, son coup de pied atteignant le côté du torse de Batenkaitos, afin de le frapper énergiquement contre le mur de l’allée.
Ley : “Guh, eh… Hk.”
Reid : “Fais pas l’bruit d’un poulet qu’on étrangle, enfoiré. Laisse-moi t’dire qu’un poulet a un goût délicieux après avoir été étranglé, mais j’ai pas l’intention d’te manger. J’me fiche d’la gourmandise ou de quoi qu’ce soit du genre.”
Ley : “Gyah !”
Reid : “T’as bondi sur un adulte. J’espère que t’es prêt à recevoir une fessée, enfoirééé !”
Tout en parlant, Reid poussa le corps de Batenkaitos contre le mur avec sa jambe et se mit à courir à travers l’allée gelée à une vitesse incompréhensible pour quelqu’un sur un seul pied.
Bien sûr, en étant poussé contre le mur et en glissant sur sa surface possédant la rugosité de la glace ici et là, Batenkaitos n’était pas en état de résister. Les dégâts étaient énormes et destructeurs.
Ley : “GIYAHHHHHHHHHHHHH――!”
Reid : “Oioi, commence pas à crier pour si peu. De cette façon, ce sera même pas quelque chose à considérer. C’est même pas digne d’un jeu d’enfant à mon époque. Les gamins d’nos jours sont pas seulement sales mais aussi maigres, oi, oi, oi, enfoirééé !”
Déclarant son mécontentement, Reid arrêta ses pieds et fit demi-tour à mi-chemin à cet endroit.
La jambe qui avait plaqué Batenkaitos contre le mur s’étant dégagée, le corps de l’Archevêque du Péché glissa vers le bas. Avant cela, la jambe gauche avec laquelle il s’était stabilisé effectua un coup de pied rotatif qui frappa énergiquement le flanc de Batenkaitos, dont la petite carrure fut projetée comme un amas de gravats.
Ley : “――――”
Avec une vigueur inhabituelle, Batenkaitos déboula sur le sol tout en adoptant une position défensive. L’Archevêque du Péché, tournant à toute vitesse en saignant, passa à travers l’espace entre Émilia et Julius, pour finalement dégringoler sur le fond de l’allée, à côté de Béatrice et Subaru.
Gisant étendu sur le sol, il ne manifestait plus rien de sa force d’antan.
Tout cela suffirait à tuer n’importe qui, mais grâce à son sens exceptionnel de la défense, ce n’était peut-être pas le cas ici.
Subaru : “Ce type, c’était le redoutable ennemi qui dominait Émilia-chan et Julius jusqu’à présent, pas vrai ?”
Béatrice : “…Il n’y a pas de doute là-dessus, en fait. Mais celui-ci dépasse encore plus les normes, je suppose. C’est pourquoi on peut dire que la situation s’est en quelque sorte aggravée, en fait.”
Subaru : “Les cartes de guerre n’ont fait que changer de place, hein.”
Béatrice : “Là encore, contre un adversaire bien pire, je suppose.”
Béatrice, tout en tenant fermement la main de Subaru, était vigilante concernant Reid en face d’eux, plutôt que vis-à-vis de Batenkaitos effondré et immobile. Il en allait de même pour Émilia ou Julius.
La situation était déjà passée de la bataille contre la Gourmandise à celle contre un nouveau guerrier. Même au milieu de cela――
Émilia : “Vraiiiiment, merci d’avoir battu l’Archevêque du Péché… En outre, est-ce qu’on ne peut pas continuer à s’entendre de la sorte ?”
Avant toute chose, Émilia s’adressa à Reid de manière amicale. Elle lui offrit une proposition de paix digne d’elle, mais en réponse, Reid secoua la tête, haussa les épaules et piétina le sol.
Dissipant cette proposition par ces trois gestes, Reid se gratta la tête.
Reid : “Kah, dis pas d’telles merdes démotivantes, minette… En fait, c’est quoi ton problème, minette. T’es trop sexy, il se passe quoi, c’est pas une blague ! T’es pas une chaudasse ? Pourquoi t’es ici, minette. Qu’est-ce tu fous dans cette situation ? Fais pas l’tour d’cet endroit sablonneux à la con, viens plutôt boire un verre avec moi ce soir, minette.”
Émilia : “Umm, c’est la deuxième fois quand même…”
Julius : “――Malheureusement, elle ne peut pas t’accompagner pour ta soirée arrosée. La raison étant…”
Reid : “Oh ?”
Julius : “Une nuit de paix ne te visitera pas, fantôme.”
Ce faisant, comme s’il interceptait le commentaire inélégant, le seul homme qui s’avança avec son épée de Chevalier préparée――Julius se tint à l’écart de Reid comme s’il couvrait Émilia, et aiguisa son regard en l’affûtant avec l’esprit chevaleresque.
Devant ces yeux jaunes, Reid changea légèrement d’expression.
Reid : “…C’est quoi s’bordel, enfoiré. T’vas un peu mieux, non ? Il s’est passé quelque chose de bien, enfoiré ? Une femme. Ça doit être une femme, hein, enfoiré.”
Julius : “Je ne nierai pas que certains événements survenus ont affecté ma préparation à bien des égards, mais j’affirme qu’ils n’étaient pas dus à une relation avec une femme. Si l’étreinte d’une femme peut guérir un cœur blessé, il en va de même pour la réprimande implacable d’un ami.”
Reid : “Toujours pareil, un bâtard qui tourne autour du pot, ça n’a pas changé, eh. Qu’est-ce tu veux dire ?”
Julius : “En d’autres termes, si je suis capable de tenir mon épée ainsi, c’est grâce à mon ami――!”
Un instant après cette déclaration, Julius brandit son épée de Chevalier d’un pas vif, peignant la pointe de son épée d’une beauté à faire douter les yeux, et porta un coup vers le cou de Reid.
Reid : “――――”
L’adversaire n’avait pas encore montré d’hostilité, une telle identification irréfléchie était tout à fait inutile.
En se tenant à cet endroit, les pensées de Reid étaient plus claires que le feu dans la nuit――son esprit combatif incontrôlable pouvait même être ressenti sur les peaux des spectateurs de façon fugace.
Il était inconcevable que quelqu’un possédant un tel esprit combatif demeure sans utiliser ses armes.
――Reid était motivé. Comme dans la boucle précédente, sans tenir compte non plus de la situation environnante.
Par conséquent, Julius effectua l’attaque préventive sans aucune indécision.
Ce choix était la solution optimale. On pouvait affirmer que cette frappe précise visant à atténuer l’attitude calme et posée de Reid était une nécessité pour vaincre le Maître Épéiste de la Première Génération à ce stade. Le problème était――
Reid : “――Tu sais s’que ça signifie d’être calme et composé ?”
Julius : “――――”
Reid : “Ça signifie être capable d’faire n’importe quoi avec souplesse, sans se soucier des petits tours joués, espèce d’idiiiiot.”
――L’attaque préventive de Julius fut interceptée et stoppée par les deux baguettes que Reid tenait dans sa main.
Julius : “Kuh… Hk.”
Reid : “Eh bien, c’était pas mal, tu sais ? Si ton adversaire n’était pas moi, tu lui aurais probablement fait goûter au moins celui-ci――bon, allons-y.”
Julius : “Tch !”
Julius poussa un gémissement en constatant que sa tentative était contrée, ce qui fit rire Reid comme un requin.
Au même rythme, Reid saisit une baguette dans chacune de ses mains et écarta la pointe de l’épée ; simultanément, il s’avança et porta des coups à l’aide de ses baguettes. L’impact frappa solidement l’épée du Chevalier, ce qui produisit un écho clair.
Julius : “――――”
Deux minces bâtons bien plus courts qu’une épée en termes de longueur, mais en étant maniés par l’expert connu sous le nom de Reid, ils avaient été transformés en une arme bien plus grande que leur taille ne le laissait supposer, et avaient révélé la destruction.
L’instant suivant cet écho clair, les ondes de choc qui s’élevèrent firent voltiger les cheveux et les vêtements de Julius, et créèrent des fissures dans toutes les parties gelées de l’allée, simultanément.
――Dépassant littéralement les normes, allant à l’encontre du sens commun, il s’agissait d’un phénomène anormal qui méritait d’être qualifié d’anomalie de ce monde.
Même si Subaru avait vu sa force physique à plusieurs reprises par le passé, le fait de voir le personnage lui-même le laissait sans voix.
La négativité du fait qu’un tel monstre existe dans ce monde, et la nature diabolique des sentiments latents du concepteur qui avait décidé d’inclure la domination de ce monstre comme l’une des conditions de la capture de la Tour, lui donnaient la nausée. Cependant――
Reid : “――Oh, j’suis en fait un peu impressionné.”
Il était impossible de savoir la proportion de force que Reid avait déployé dans ce coup de baguettes.
Toutefois, il semblait que la réception de ce coup était hors des calculs de Reid, et il félicita l’esprit combatif de Julius pour avoir repoussé la frappe des baguettes.
En recevant cela, Julius plissa les yeux tandis que du sang s’écoulait du bord de sa bouche.
Julius : “Après tout, il faut que je gagne contre toi, sinon nos calculs ne tiendront pas la route, vois-tu.”
Reid : “T’as l’intention d’gagner, n’est-ce pas ? Pourtant, t’oses m’aboyer dessus.”
Julius : “Il semblerait. Mais permets-moi de te tenir compagnie !”
À ce moment-là, un coup d’épée de Julius jaillit, mais il fut repoussé par Reid avec ses deux baguettes de manière grossière.
L’élan de l’épée fut dévié, et la position de Julius s’écroula――ce ne fut pas le cas. Julius, ayant considéré que son épée de Chevalier était déviée, pivota, et donna un second coup d’épée sans le moindre décalage.
Ainsi commença une danse des épées, comme un flux d’eau raffiné dont aucune goutte n’était perdue.
Subaru : “――――”
Subaru inspira, assistant de ses propres yeux à la danse des épées, une accumulation d’innombrables mouvements offensifs et défensifs.
C’était la limite de ce que Subaru pouvait suivre des yeux ; en fait, ce que Subaru pouvait suivre des yeux se résumait à cela. Mais c’était la preuve de la volonté et de la discipline de Julius Juukulius qui cherchait à atteindre le sommet de l’épée connu sous le nom de Maître Épéiste.
――Si les talents d’épéiste de Reid étaient semblables à des flammes ardentes, ceux de Julius étaient semblables à de l’eau s’écoulant.
En termes de compatibilité élémentaire, l’eau devrait éteindre les flammes, mais les flammes ici étaient puissantes, si puissantes qu’elles pouvaient simplement évaporer l’eau adverse et la réduire à néant.
Peut-être que de nombreux épéistes semblables à de l’eau s’écoulant avaient été évaporés par les flammes ardentes des talents d’épéiste de Reid.
Toutefois, tout du moins, Julius ne craignait pas de se jeter à l’eau et de se faire évaporer alors qu’il continuait à porter des attaques destructrices et inévitables sur Reid. Et――
Émilia : “Ne crois pas que ton adversaire soit seulement Julius !”
Reid : “Kah ! J’oublie pas, chaudasse ! Ton visage est trop beau pour être oublié !”
Émilia : “Merci pour le compliment ! Mais il n’y a qu’une seule personne qui s’en souvienne vraiment !”
Émilia rejoignit la danse des épées de Reid et Julius en brandissant une montagne d’armements de glace.
En conséquence, Reid tourna l’une de ses baguettes contre Julius et l’autre contre Émilia. Si cela pouvait même servir de contre-mesure, ce sens banal des valeurs était réduit à néant par les talents d’épéiste de Reid.
La glaciation interrompit la danse des épées des flammes et de l’eau, et les couleurs du champ de bataille devinrent encore plus vives.
Les participants à la danse des épées avaient été changés d’une unité, Reid étant l’adversaire à la place de Batenkaitos, et la coordination grossière d’Émilia et de Julius reprit――non, ça aussi avait changé.
Peut-être était-ce dû au fait que l’ennemi était plus fort, mais il était bien plus probable que les deux aient rapproché leur style de combat de celui de l’autre dans ce court laps de temps et l’aient modifié, les faisant correspondre en quelque sorte à celui de l’autre ; et ainsi, leur collaboration se transforma en une véritable coopération.
Béatrice : “Julius s’accorde avec Émilia, en fait.”
Subaru : “Tu l’as saisi ?”
Béatrice : “Il y a aussi leur compatibilité sur la base de leur personnalité, je suppose. La détermination d’Émilia est devenue meilleure, et Julius est devenu capable de se déplacer en conséquence, en fait. Il est probable qu’Émilia ait eu raison de se débarrasser de l’idée de s’accorder avec lui, je suppose.”
Subaru : “Quelle incroyable explanation.”
Quoi qu’il en soit, puisque tout se passait bien, ce jugement devait être correct.
Au final, Émilia ne s’était pas retenue et avait tout fait à son rythme, et Julius s’était calé sur les mouvements faciles à comprendre de sa partenaire, embellir étant sa spécialité.
Reid : “Hahaa ! Bon travail, bon travail, enfoirés ! J’commence à m’amuser aussi !”
Émilia : “Uyah ! Seyah ! Toriyah ! Hiyahiyahiyaaa !”
Repoussant joyeusement les deux qui collaboraient cordialement, Reid se mit à rire bruyamment. Émilia poussa alors un cri et lança une attaque puissante que personne n’aurait cru pouvoir émaner de cette voix, mais elle ne parvint pas à porter le coup décisif.
Une merveilleuse danse des épées, comme une illusion d’eau, de feu et de glace s’entremêlant.
L’épée de Chevalier en acier, les bâtons qui semblaient avoir été transformés en acier en raison de l’habileté et de la force avec lesquelles ils étaient utilisés, et les armes de glace qui frappaient, se brisaient et se régénéraient, tout cela donnait lieu à des notes aiguës.
La scène était si belle que cela pouvait induire en erreur quant à l’existence d’une telle danse――
??? : “――Shaaaaaaaaa !!”
Dès lors, l’existence dissonante qui s’était introduite de manière obstructive se grava dans l’esprit de chacun comme étant étrangère à la fois pour les yeux et pour les oreilles.
Subaru : “Salaud… Hk !”
Ley Batenkaitos s’inséra dans l’espace où se déroulait la bataille des trois, avec obstruction et impolitesse.
Le jeune garçon qui était censé avoir mangé le coup de pied de Reid et être tombé dans un état proche de la mort. Il s’était relevé et avait repris sa place sur le champ de bataille comme s’il n’avait subi aucun dommage.
Batenkaitos brandit les dagues fixées aux poignets de ses deux mains, et en les combinant avec les techniques de combat qui utilisaient habilement ses membres courts, il porta continuellement des attaques mortelles sur les trois, les unes après les autres.
Émilia, Julius et Reid, chacun d’entre eux se défendit avec agacement. Il avait pris Émilia, Julius et Reid au dépourvu, et les trois se défendirent respectivement contre lui, de manière troublée et précipitée. Cependant, leur défense contre lui était imparfaite, et quelques bouts de leurs cheveux et de leurs vêtements furent tranchés,
Julius : “Quel acharnement de ta part à ne pas baisser les bras, Archevêque du Péché !”
Ley : “Hahaaa ! Nous éviter et ensuite s’amuser, arrête de faire de telles choses, nii-sama ! Toujours et encore rien que pour toi, eh ? C’est vraiment injuste !”
Émilia : “Reid ! Je suis sûre que tu comprends ! Ça ne sert à rien de se battre ici ! Même si tu ne nous aides pas, reste au moins immobile, s’il te plaît !”
Reid : “Quelle femme ignorante tu fais, chaudasse. J’m’amuse avec les choses telles qu’elles sont, t’sais ? Même si les grandes étoiles tombent du ciel, mes objectifs plieront pas !”
Émilia : “――――”
Les quatre, tout en s’échangeant des coups héroïques, heurtèrent leurs volontés respectives.
C’était un paysage de bataille, impossible à approcher, impossible à désunir de l’odeur du sang, dans lequel il était impossible de trouver un terrain d’entente.
Pour une personne extérieure, il était difficile de juger qui était avantagé, qui était désavantagé, qui était supérieur, qui était inférieur.
Tout ce qu’il était possible de faire, c’était d’espérer la victoire de leurs alliés, néanmoins――
Subaru : “――Guh.”
Béatrice : “Subaru ?!”
Béatrice fut alors stupéfaite de voir Subaru, qui ne pouvait que regarder et espérer, s’agenouiller en s’agrippant à son torse.
Elle s’agenouilla et toucha l’épaule de Subaru, observant son visage alors qu’il respirait péniblement.
Béatrice : “Subaru, Subaru ! Qu’est-ce qui ne va pas, en fait ? Qu’est-ce qui s’est passé, je suppose ?!”
Subaru : “…Non, qu’est-ce que c’est… que ça ?”
Béatrice : “Subaru ?”
Malgré les appels désespérés de Béatrice, Subaru resserra sa prise sur son torse et cligna des yeux à plusieurs reprises.
Il n’y avait absolument aucune intention de tromper ou de berner en lui. Mais même Subaru ne pouvait pas comprendre cela. Cette bizarrerie, cette douleur――une chaleur incroyable enflait à l’intérieur de sa poitrine.
Son cœur battait à un rythme tel qu’il allait exploser, il pouvait sentir chaque goutte de sang couler dans son corps, une sensation horrible et incompréhensible comme celle d’une sonnette d’alarme retentissait.
Subaru : “――――”
Il ne comprenait pas. Actuellement, qu’arrivait-il à son corps ?
Ce phénomène ne s’était produit dans aucune des boucles jusqu’à celle-ci. S’agissait-il d’une sorte de maladie chronique ou, pire encore, d’une sorte d’interférence magique ?
Passant en revue toutes les connaissances qu’il possédait dans son esprit, il envisagea les pires possibilités et secoua la tête.
Non, ce n’était peut-être pas quelque chose de négatif. La sonnette d’alarme ne retentissait qu’en raison d’un problème.
Subaru : “Ha, ah…”
Il inspira profondément, puis expira.
Jusqu’à présent, le cerveau de Subaru était rongé par l’inquiétude pour Émilia et Julius qui combattaient Batenkaitos et Reid juste devant lui.
Face à la situation, sa personne impuissante ne pouvait rien faire d’autre que de rester debout et d’observer.
Dans cette situation, ce qui brûlait le cerveau de Subaru, c’était la progression des cinq obstacles pendant qu’ils étaient occupés avec cela――c’est-à-dire les deux obstacles restants.
――Les cinq obstacles.
L’un d’eux était la grande horde de bêtes démoniaques qui encerclaient la Tour. Un autre était l’Archevêque du Péché de la Gourmandise, qui allait lancer une attaque sur la Tour. Un autre était Reid Astrea, qui commencerait à se promener librement dans la Tour――trois d’entre eux étaient actuellement présents dans cette situation.
Les deux autres étaient le scorpion titanesque qui se promenerait dans la Tour comme s’il en était le propriétaire, et l’ombre noire colossale qui engloutirait la Tour avec une puissance redoutable.
Il fallait aussi s’occuper de ces deux-là, sinon les problèmes qui pesaient sur la Tour ne seraient pas réglés.
Sur fond d’efforts acharnés d’Émilia et de Julius, au moment où il s’était interrogé sur les possibilités d’effondrement de la Tour, sa poitrine s’était mise à chauffer et avait poussé Subaru à s’agenouiller.
Son cœur continuait de battre à tout rompre.
Gardant en conscience les battements de son cœur, Subaru respira lentement et ferma les yeux. Il pensa qu’il devait faire ce que son corps lui demandait. S’y conformant, il ferma les yeux.
Béatrice : “――――”
Voyant l’état de Subaru, Béatrice interrompit ses appels.
Peut-être n’avait-elle pas non plus confiance dans cette démarche. Pourtant, elle avait fait ce geste. Subaru avait de la chance d’avoir des camarades aussi compréhensifs.
Et, derrière les paupières de Subaru, une curieuse sensation surgit.
――Elles étaient de faibles lumières, fugaces, en lévitation dans l’obscurité.
Subaru : “――?”
De faibles lumières chaudes et floues.
Il y en avait une juste à côté de Subaru, et deux à une légère distance de lui. Bizarrement, Subaru comprit qu’il y avait des lumières derrière lui sans même avoir à jeter un coup d’œil en arrière.
Derrière lui, se trouvaient quatre lumières. L’une d’elles était à une certaine distance des autres, et, et, et――
――Il réalisa que l’une d’entre elles s’approchait au-dessus de sa tête.
Subaru : “――Béatrice !”
Béatrice : “Hyah !”
Pour une raison quelconque, Subaru fit aveuglément confiance à cette sensation et sans aucune hésitation, il se précipita vers Béatrice et bondit loin de cet endroit.
Serrant le corps léger de la jeune fille dans ses bras, Subaru dégringola sur le sol sans faiblir――à cet instant, il saisit qu’une chaleur brûlante lui assaillait la cuisse de sa jambe droite, tandis qu’il poussait un hurlement d’angoisse.
Subaru : “Gah, GUOOOOOOH !”
Il réalisa instantanément que la sensation de brûlure provenait d’une blessure profonde. Peut-être pour détourner son regard de sa jambe blessée, Subaru regarda Béatrice tout en la serrant dans ses bras.
Et, forçant ses yeux à s’ouvrir malgré la douleur et les larmes, il vit.
??? : “――――”
Subaru : “Je savais qu’il viendrait, ce scorpion de merde… Hk !”
Subaru lança cela avec rage ; alors qu’il s’agissait de sa deuxième chance de le rencontrer, ce qui était apparu devant lui était le titanesque scorpion――le scorpion, possédant une carapace noire et des yeux semblables à des points lumineux rouges, avait le reste de ses pattes qui rampaient sur le mur alors qu’il dominait Subaru et les autres.
Béatrice : “――Ah.”
Face à cette créature d’une taille effroyable, Béatrice écarquilla les yeux. Dans le champ de vision de Béatrice se trouvaient les pinces du scorpion, qui avaient infligé une profonde entaille à la jambe de Subaru. Le scorpion tenait avec extase la chair de Subaru dans ses pinces, faisant couler une grande quantité de sang sur l’allée.
――Il s’était inquiété de l’intrusion du titanesque scorpion. Les cinq obstacles qu’il devait surmonter s’étaient rassemblés ici.
Subaru : “――――”
C’était mauvais. C’était mauvais c’était mauvais. C’était mauvais c’était mauvais c’était mauvais. C’était mauvais c’était mauvais c’était mauvais c’était mauvais c’était mauvais c’était mauvais c’était mauvais c’était mauvais c’était mauvais c’était mauvais c’était mauvais c’était mauvais c’était mauvais c’était mauvais c’était mauvais c’était mauvais c’était mauvais c’était mauvais c’était mauvais c’était mauvais c’était mauvais c’était mauvais c’était mauvais c’était mauvais c’était mauvais c’était mauvais c’était mauvais c’était mauvais c’était mauvais c’était mauvais c’était mauvais c’était mauvais c’était mauvais c’était mauvais c’était mauvais c’était mauvais c’était mauvais c’était mauvais c’était mauvais c’était mauvais c’était mauvais c’était mauvais.
Comprenant à quel point la situation était défavorable, Subaru essaya de chercher un moyen de survie dans ses pensées qui étaient brûlées par la douleur.
Cependant, rien ne vint à l’esprit de Subaru quant à ce qui pourrait apporter un changement positif à la situation.
Batenkaitos était ici, Reid était ici, même le scorpion titanesque était apparu.
Même si Meili et Shaula contenaient la horde de bêtes démoniaques, les autres cartes avaient déjà échoué face à la tournure des événements. Cela ne fonctionnerait pas.
Cette voie ne fonctionnerait pas. Avec un autre moyen d’action, différent――
Béatrice : “――Subaru !”
Julius : “Subaru !”
Émilia : “Subaru !!”
Subaru, grinçant des dents, put entendre trois voix frapper ses tympans, l’appelant.
La voix poignante de Béatrice, la voix crispée de Julius, la voix suppliante d’Émilia, Subaru les entendit respectivement l’appeler, et finalement.
Batenkaitos, Reid, le scorpion titanesque, chacun se déplaça à la rencontre des autres.
Comme pour entraver les actions, le chemin de Natsuki Subaru, mais même avant cela――
??? : “――――”
――Un impact frappa la Tour avec une immense vigueur, toute la Tour trembla avec violence, et un rugissement tonitruant retentit.
Tandis que le corps de Subaru allongé sur le sol rebondissait, Émilia et les autres combattants furent soufflés, et même la carapace du scorpion titanesque fut écrasée, tandis que le monde s’écroulait.
Le petit corps à côté de Subaru l’étreignait apparemment pour le protéger. En serrant ce doux corps en retour, Subaru écarquilla les yeux au milieu de l’impact.
??? : “――Je t’aime.”
――Ici présent, seules se trouvaient les ténèbres abritant un amour aveugle, alors qu’elles tentaient d’engloutir Subaru.
※ ※ ※ ※ ※ ※ ※ ※ ※ ※ ※ ※
――À cet instant, tout dans le monde, blanc et noir, hommes et femmes, amour et haine, tout avait été consumé par l’impact vibrant, mais seul Natsuki Subaru avait réussi à s’en échapper.
??? : “――Subaru.”
Subaru : “――Hk !”
??? : “Uhyah !”
Un appel dans sa direction ; pour tenter de l’attirer plus près de lui, Subaru serra le propriétaire de cette voix dans ses bras.
Entre ses bras, le corps bougeait dans l’agitation et la panique, regardant vers le haut à partir du milieu de sa poitrine. C’était――
Subaru : “Béa… trice…”
Béatrice : “O-oui, je suppose ! Le fait que tu fasses ça si soudainement est surprenant, en fait. Eh bien, ce n’est pas comme si Betty n’aimait pas ça, je suppose. Mais Betty s’inquiétait parce que tu venais juste de revenir du Livre… mais voir le nom de Betty appelé en premier est soulageant, je suppose.”
Subaru : “――――”
En effet, Béatrice murmura cela alors qu’elle était encore dans les bras de Subaru. En entendant ses paroles, Subaru regarda autour de lui.
Ce qui s’est passé juste avant ; il était tombé dans l’allée, sa jambe avait également été blessée, et ensuite il était tombé dans cette ombre sombre, sombre――
Subaru : “…Bibliothèque ?”
??? : “Pour le moment, si tu pouvais nous dire si tu es encore à moitié endormi ou non, je pense que nous pourrions poursuivre nos plans d’action, Natsuki-kun.”
Cette voix frappa Subaru, qui fut étonné de se retrouver entouré de vastes rayons de livres.
En jetant un coup d’œil, il découvrit qu’il s’agissait d’Echidna, qui souriait ironiquement tout en caressant ses cheveux mauve clair. Derrière elle, il y avait l’étagère sur laquelle elle s’était appuyée et Meili, qui avait posé son menton sur ses mains en disant : “Tu es enfin debouuut”.
Subaru : “――――”
Béatrice : “Wah, wahwah ! Subaru ! Subaru, que s’est-il passé, en fait ! Tu ne te sens pas bien après tout, je suppose ? Peux-tu parler de ce que tu as vu dans le Livre, en fait ?”
Subaru : “Ah, eh bien, hmm. J’ai aussi besoin de faire ça, mais…”
Subaru se serra contre le petit corps de Béatrice, et profita de sa chaleur.
Et il reconnut la réalité qu’il devait identifier.
――Il était revenu. À ce moment-là.
Subaru était revenu à cet instant, n’ayant pas réussi à surmonter les cinq obstacles.
※ ※ ※ ※ ※ ※ ※ ※ ※ ※ ※ ※ ※
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-=Fin du Chapitre 65=-
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